Thanks God, I am back in Singapore !

Parce que tout est propre, le gazon manucuré, le chewing-gum est interdit et jeter les papiers parterre aussi. Les gens sont civilisés par obligation.

Il est rare de trouver un bâtiment de plus de 50 ans. Dans le village chinois, le village indien, on s'attend à chaque moment à voir surgir la souris Mickey pour la séance photos.

Le chauffeur de taxi parle à peine. Il s’arrête à côté de vous, ouvre sa vitre, attendant que vous énonciez votre destination. S’il s’en va, c’est que ça ne lui disait rien.

Les voitures se garent uniquement en marche arrière (boitier automatique), avec caméra de recul, signal sonore d’avertissement avant le Bing, qui parfois arrive pourtant.

Les gens roulent vite et mal, ils se croient un peu à Disneyland dans le train de la mine.

Payer une paire de sandales 260 S$ ne choque pas la singapourienne, à condition que ce soit le prix soldé et qu'elle ait l'impression d'économiser.

La singapourienne est souvent replète,  elle mange ses 5 fruits et légumes par jour mais hélas pour elle, frits.

Le singapourien est superstitieux, halé, il affiche sa réussite haut et fort et collectionne les voitures comme les enfants les miniatures majorette.